Il y’a en Afrique des sportifs iconiques qui sur des questions politiques sont laconiques. Ils oublient de pourfendre en critiques […]

Nos combats se sont arrêtés à la porte de nos illusions. Les indépendances nous ont bercé dans l’espoir et la machine à broyer de nos dirigeants s’est mise en place. De grands marchés ont été passé dans les bureaux feutrés.

La récréation est terminée ; nous pouvons rejoindre la classe pour le grand cour magistral. Désormais plus de Président de la République aux pouvoirs étendus sur notre continent. Plus de démocratie à la « blanquette » sur la « grande coquette ».

Les grandes douleurs sont muettes. C’est dans le cœur déchiré que transpire l’amertume. On se tait parce qu’on n’est plus libre de parler. On pleure parce que la douleur ronge.