Le Militaire Salutaire

Solitaire sans connexions, forgé par ses convictions, a offert le digne spectacle africain de nos riches traditions.
Qui a dit que Baudelaire et sa religion avaient toujours raison.
Il faut croire que des siècles nous sépare des vaines illusions, sur ces terres riches où domine la religion ; et quand la calamité a raison. C’est le Camard qui patine la veste du Roublard.
Et justement ! Ils étaient tous rassemblés pour le grand spectacle. Regards hagards, attendant de pousser le billard.
A l’occasion le Grand bavard s’est tu, revanchard. Annonçant les couleurs, aidé des symboliques tam-tams parleurs. Démonstration de puissance, ou affirmation de l’excellence, de la puissance, de la brillance de ce qui est d’ici.
Désormais tout se fera ici et c’est dit ! Au vrai paradis.

Si on commente, c’est parce qu’on en redemande.
Quelle audace ! Quelle grâce ! Et surtout sur la grande place.
Désormais on saura que les militaires savent aussi faire.
Et quand le peuple est opprimé, oppressé, ils ne peuvent se taire.
La Patience devance la vitesse. Elle est lente, sûre, sans ivresse et pleine de sagesse. Et c’est ce qu’il incarne depuis qu’il est aux affaires. Il rassure et regarde vers le futur pour un peuple qu’il veut mener.
Loin de la démesure et des vaines fioritures, il pose les fondations d’un futur plus sûr. Et pour ça, il en a la carrure.
Ouvrez les casernes et que sortent des OLINGUI, des TCHIANI, des IBRAHIM, des ASSIMI, pour un continent qui se développe loin des faux amis.

A bon lecteur Salut !

 CASUS

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