Il y’a en Afrique des sportifs iconiques qui sur des questions politiques sont laconiques. Ils oublient de pourfendre en critiques sur des questions critiques. Ils s’éloignent du jeu démocratique, gèlent leurs acerbes critiques pour ne pas subir le verbe critique. Ils s’isolent, parfois s’envolent dans un environnement chaotique et s’étonnent quand ça devient dramatique. Ils protègent leurs intérêts stratégiques pendant qu’à chaque rendez-vous démocratique le peuple vit dans la peur panique. Le peuple fanatique continue d’aimer ces voix frénétiques d’Afrique qui dans un silence presque machiavélique s’illustrent en véritables complices des crises politiques empiriques en Afrique.
On sait se faire applaudir des fanatiques, et quand vient l’heure des grands débats véridiques, on disparaît dans la pénombre magnifique. C’est tout le drame, le charme d’une Afrique que les émotions ont soumis aux opérateurs diaboliques.
CASUS
